ENFJ-T : protagoniste.

Altruiste - Ouvert d’esprit - Passionné - Charismatique - Optimiste - Sociable

Drama Queen – Sensible – Peur de l’abandon- Bavard – Dépensier – Perfectionniste  



Entre les idées que tu véhicules sur les réseaux sociaux, ton engagement pour Unity ou ta manière d’être en général, la majorité des gens te qualifient d’altruiste. Devenir “une bonne personne” a d’ailleurs été bien longtemps ton objectif. Suite au départ de ta famille de cœur, rongé par la culpabilité de ne pas être intervenu et cela malgré ton jeune âge, tu t’es promis une chose : de ne plus fermer les yeux sur une injustice, tu ne voulais plus jamais être lâche. Cela a pris du temps de devenir cette personne, pour t’apprendre à t’aimer de nouveau et à être confiant. Encore aujourd’hui tu désires continuer à “t’améliorer”, sûrement car il t’arrive encore de te sentir mal par rapport aux trois hybrides qui t’avaient élevé et qu’il t’arrive comme tout le monde d’avoir des moments de faiblesse et de doute.  

Dans ta quête pour devenir une bonne personne, tu t’es doté d’une grande ouverture d’esprit, tu essaies toujours d’écouter les avis des deux partis lors d’une dispute, de ne pas juger personne sur son apparence ou ses paroles sans essayer de la connaître plus... Même s’il t’arrive comme tout le monde de te tromper ou d’avoir quelques préjugés ou tout simplement de critiquer certaines personnes comme les gens soutenants ouvertement chroma ou ayant des propos racistes, homophobes par exemple. Il est d’ailleurs amusant de noter, que lorsqu’une personne arrive à t’énerver à cause de ses propos lors d’un débat houleux (ou une dispute tout autre)–et cela même si tu tentes d’être le plus patient possible – tu deviens de plus en plus poli. Petit, tu allais même jusqu’à vouvoyer les camarades de classe qui tentaient de t’ennuyer. Jusqu’à maintenant, tu n’as que très rarement explosé de colère au point de devenir violent aussi bien verbalement que physiquement, ce qui rend ces moments que plus mémorables.  

Cette attitude générale pousse d’ailleurs certaines mauvaises langues à te traiter d’hypocrite ou de grand naïf. Il faut dire qu’à force de laisser le bénéfice du doute, de jouer à l’avocat du diable, de laisser une seconde chance à bien des gens, ou de tout simplement avoir foi en l’humanité, tu as pu paraître idiot aux yeux de certains. Après tout, tout le monde connaît le dicton : trop bon, trop con, mais tant que c’est toi qui es considéré comme un con, plutôt que tes amis, ça te paraît acceptable. Tu peux tout de même te montrer rancunier pour certaines occasions, et on pourra alors t’entendre maugréer pendant un certain temps.  

D’une nature curieuse et enthousiaste, tu adores découvrir et tester de nouvelles choses. Un nouveau restaurant aux plats atypiques ? Tu viens avec plaisir ! Une activité que tu n’as jamais testée ? Pourquoi pas ! Un projet original et qui ne va pas à l’encontre de tes valeurs ? Tu participes avec un grand oui si tu en as le temps ! Bref, vivre de nouvelles expériences, c’est ce qui te rend heureux... avec le shopping et la mode car tu es un vrai fashionista, au point d’avoir un compte secondaire sur tes réseaux sociaux juste pour parler de tes tenues et pour des projets concernant ce milieu-là. Il est d’ailleurs rassurant –bon ton banquier- que tu gagnes bien ta vie car tu es un grand dépensier, autant pour faire plaisir aux autres qu’à toi-même. Tu finis assez régulièrement par donner ce que tu n’utilises pas –ou ce que tes proches ne veulent pas- à des œuvres de charité ou à Unity afin de ne pas juste les jeter à la poubelle.  

Bavard, tu dois tout de même faire attention à ne pas monopoliser la parole quand tu te lances, il ne faudrait pas faire fuir les gens, non ? Heureusement, ton côté éloquent et passionné sait charmer la foule dès que ça touche un sujet que tu affectionnes particulièrement, ce qui a dû contribuer à ton succès sur les réseaux sociaux. Être une véritable pipelette ne t’empêche pas de savoir écouter, et cela grâce à ta sensibilité qui est des fois un peu trop exacerbée. Il t’arrive de te laisser bouffer par les soucis de ton entourage quand tu t’impliques un peu trop en voulant les aider. Tu finis alors épuiser et des fois déprimer, te poussant à te couper du monde pendant un temps indéterminé afin de te ressourcer. Sauf si quelqu’un a la gentillesse de venir de tirer la moustache pour te remettre les idées en place et te pousser à prendre de la distance pour ne pas finir en burn-out. Ce n’est pas la seule occasion de taper sur les doigts, plus d’une fois des proches ont dû te calmer dans le cadre de ton boulot car tu voulais que tout soit parfaitement parfait dans les moindres détails de ton projet du moment quitte à te noyer dans le travail.  

Bien qu’optimiste, tu adores jouer la drama queen dans le but de faire rire les gens en exagérant de minuscules soucis ou petits évènements désagréables afin de leur faire oublier leurs soucis. Bon, si tu dois être honnête, il t’arrive aussi de faire ta diva même quand tout va bien. À croire que ce rôle fait un peu partie de toi, surtout quand tout ne va pas si mal.  

Depuis l’université, tu es devenu extrêmement sociable, allant facilement vers les gens et tu penses t’entendre avec la majorité de tes fréquentations, ce qui est plutôt positif, mais en même temps pourquoi continuerais-tu à côtoyer des gens qui ne t’apprécient pas un minimum ?  Il faudrait être masochiste, ce que tu n’es pas... sauf peut-être pour une nuit, ce qui n’est pas vraiment comparable. En parlant de relation, si tu as su t’entourer de bons et très bons amis, tu as été plutôt calme au niveau des relations amoureuses qui n’étaient clairement pas ta priorité dans la vie, privilégiant les relations éphémères et sans contrainte, même si tu as déjà eu quelques relations sérieuses, bien que très peu nombreuses.  

Actuellement, si tu devais changer quelque chose chez toi, ça serait ta peur de l’abandon, même si elle ne concerne que certaines personnes particulières, pour qui tu ressens bien plus qu’une simple affection, celles qui t’ont aidé à te construire et à devenir la personne que tu es actuellement. Tu as appris à vivre avec, et tu essaies autant que possible de ne pas trop l’exprimer même si ça ne fonctionne pas toujours. En conséquence, il t’arrive de ressentir une pointe de jalousie et du mécontentement quand tu as l’impression qu’une personne menace ta place auprès d’eux. Ce n’est pas pourtant, que tu te transformeras en un horrible personnage si tu dois les côtoyer, tu resteras cordial et même à l’écoute si tu ressens un malaise chez eux, pour cela on peut remercier ton côté éducation et ton incapacité à abandonner les gens en détresse.  

Chronologie:

New York, 2042 :

Installé au bord de ton lit, tu mâchouillais l’une des longues oreilles de ton lapin en peluche en observant la vieille femme qui s’affairait à préparer tes affaires pour le lendemain. Elle aussi avait de longs appendices comme monsieur Lapinou, de belles et longues oreilles que tu savais encore plus douces que la plus soyeuse des couvertures.

”Il ne manque plus que votre goûter.” Annonça-t-elle plus pour elle-même que pour ta minuscule personne. Elle leva ensuite les yeux vers la pendule en forme d’étoile, et hoqueta de surprise. ” Dios mío, il est déjà cette heure-là ?! Il est grand temps d’aller se coucher, niño, il faut que tu sois en forme pour ta première journée à l’école.” Déclara-t-elle en venant te border sans que tu ne cherchasses à lutter. Après quoi, elle s’installa près de toi comme chaque soir pour te lire une histoire ou pour te chanter une des nombreuses berceuses qu’elle connaissait. Tu te tortillas sous ta couette afin de te rapprocher d’elle, venant plonger ton visage dans le creux de son cou pour y inspirer son odeur sucrée et familière, du moins bien plus que celle de tes parents.

”Abuela...t’aime...” Soufflas-tu d’une voix endormie alors qu’une main ridée venait se perdre dans tes boucles noires. Du coin de l’œil tu aperçus l’expression de ta nourrice, comme toujours elle affichait ce mélange de tristesse et d’affection sur son visage ridé.

Le cœur serré, tu te collas un peu plus contre elle comme pour la consoler ou pour te rassurer toi, tu ne savais pas trop. Sans répondre à ta déclaration par des mots, elle continua ses caresses tout en se mettant à fredonner une berceuse en espagnol. Une fois endormi et la chanson terminée, elle vint poser un baiser sur ton front. ”Dulces sueños, tesoro.  





New York, juillet 2046 :



”Je les déteste ! Je les déteste, je les... dé...teste” Marmonnas-tu entre deux sanglots. Encore une fois, tu étais laissé de côté comme un indésirable au sein de ta famille. Un regrettable accident comme aimait dire ta sœur quand elle se décidait à jouer les mesquines avec toi, et le pire ? C’est que tes parents la corrigeaient à peine. Ils se montraient justes mécontents si elle avait le malheur de dire ça en présence d’individus extérieurs à la famille. À croire que renvoyer une bonne image était bien plus importants que tes sentiments.  

”Tesoro ?” Appelait une voix à l’accent mexicain assez prononcé. Tu relevas la tête pour croiser le regard attristé de ta vieille nourrice qui s’avançait vers toi. ”Qu’est-ce qui ne va pas ?” Demanda-t-elle avec inquiétude alors que tu précipitais vers elle pour l’enlacer. ”Abue...la...horrible...Rose...mère...” Au milieu des sanglots, des hoquets, la lapine sembla comprendre la raison de ta détresse et resserra son emprise sur ton petit corps pour te réconforter. De longues minutes s’écoulèrent avant que tu ne puisses te calmer et que tu te confis à l’hybride : ”C’est toi ma famille, abuela, pas eux.”





New York, juillet 2046 :



”Abuela ? “ Appelas-tu en t’avançant vers la chambre qu’elle partageait avec les autres hybrides de la famille. ”Laurence ? Théo ? Vous êtes là ?” Seul le silence te répondit tandis que tu t’arrêtais au seuil de leur dortoir. Tu restas sans bouger pendant quelques secondes, alors que tu sentais tes entrailles se tordre douloureusement face à la soudaine anxiété qui montait en toi. Où étaient-ils ? Pourquoi ne répondaient-ils pas ? D’un geste lent tu poussas la porte qui s’ouvrit dans un grincement sinistre pour découvrir une pièce vide de leurs rares effets personnels. À croire qu’ils n’avaient jamais vécu ici... ou qu’ils n’étaient pas partis sans te dire au revoir, mais c’était impossible, non ? Tu tournas les talons pour courir en direction des escaliers, tu devais interroger quelqu’un, n’importe qui, tu devais savoir où ils étaient quand tu la vis en bas des marches.  



Rosemary. Ta grande sœur leva ses yeux de biche vers toi, elle resta une seconde sans réaction avant d’afficher son fameux sourire narquois. ”Si ce n’est pas mon si précieux petit-frère !~” Roucoula-t-elle d’une voix suave d’où perçait une pointe de moquerie. Elle pencha sa tête sur le côté et afficha une fausse moue inquiète, après t’avoir examiné sous toutes les coutures. ”Tu trembles et tu es si pâle, quelque chose ne va pas ?” Demanda-t-elle avec un ton empreint d’une fausse sollicitude tout en s’approchant de toi, sa main froide venant se poser soulever ton menton pour t’obliger à la regarder dans les yeux. Ton mutisme la poussa à reprendre la parole. ”Ne me dit pas que c’est à cause d’eux...” Souffla-t-elle en regardant derrière toi, en direction de la zone réservée aux hybrides de la famille. Elle poussa un soupir fataliste avant de te lâcher, pour redescendre les dernières marches. ”Je me demande bien de qui tu tiens pour aimer ces animaux...” Elle s’arrêta pour te regarder à nouveau et te jeta un dernier regard. ”Maintenant suis-moi, père veut te voir et il est passablement énervé.”  



Les jambes tremblantes, tu obéis sans rien dire. Le trajet vers le bureau de ton géniteur te paraissait interminable alors que ton cerveau associait les différentes informations que tu avais ta possession. L’absence de ta famille de cœur, l’étage vidé de leur maigre possession, la remarque de ta sœur... et ton père qui désirait te parler, lui ne faisait jamais attention à toi. Pourquoi voulait-il te voir ? Pourquoi n’étaient-ils plus là ? Pourquoi ? Le monde se mettait à tourner autour de toi... ta main droite venant agripper le tissu au niveau de ta poitrine alors que tu cherchais à prendre une grande inspiration pour te calmer. Tu fermas les yeux. Inspire. Expire. Inspire. Tu rouvris les yeux. Ils étaient tous là, ta famille de sang et de cœur. Si Laurence et Théo gardaient la tête baissée, tu eus le temps de croiser le regard embué de larmes de ta nourrice et d’apercevoir sa joue tuméfiée. Tu te figeas. Quelqu’un l’avait frappé ? Tu avais bien conscience que ta famille n’appréciait pas les hybrides, mais tu ne les savais pas violents physiquement envers eux.  



”... Il était à l’étage...” Visiblement, ta sœur était en train d’expliquer à vos parents où elle t’avait trouvé et cela ne semblait guère leur plaire. Entre le froncement de sourcil de ton père et le soupir de ta mère, tu avais l’impression d’avoir commis l’irréparable à leurs yeux. Ton père fit signe à ton aînée de se taire sans que ton regard ne te quitte une fraction de seconde comme s’il cherchait à voir ce qui clochait chez toi. Ta mère profita de son silence pour intervenir, son joli visage déformé par une grimace emplie de déception. ”Je n’arrive pas à croire que tu aies pu les considérer comme ta famille, Karan ! Abuela, sérieusement ? Heureusement que ta grand-mère ne le sait pas, elle en serait malade d’avoir été comparé à cette chose. “ Elle vint se poster devant toi, ses doigts fins se refermant tel des serres sur tes épaules. ”Tu dois comprendre une chose mon chéri, ils ne sont pas ta famille, même pas des êtres humains, ils ne sont là que pour nous servir... Tu ne dois pas t’attacher à eux...” Elle avait continué son monologue pendant encore de longues minutes, de si longues minutes qu’à la fin tu ne comprenais même plus ce qu’elle disait. Ton esprit ne se focalisant que sur une seule et unique chose. Ils savaient. Ils connaissaient ton secret ou plutôt votre secret. La vieille lapine t’avait pourtant appris à être discret avec les années. Alors comment ? T’avaient-ils surpris avec eux ? ”Mais ne t’inquiète pas, maman et papa s’occupent de tout. Ils ne te manipuleront plus jamais. Ils vont partir et plus jamais ils ne pourront t’approcher.” Annonça ta mère avec une voix presque affectueuse... et comme si tout avait été organisé à l’avance, les trois hybrides quittèrent la pièce sans un mot, ni un dernier regard pour toi. Tu restas figer, tu avais l’impression d’assister à la scène depuis un regard extérieur sans pouvoir intervenir, comme si tout ça n’était qu’un cauchemar.



New York, 2052 :



Le cri strident de la sonnerie résonna dans toutes les classes te faisant sursauter alors que tu inscrivais les derniers mots de ta dissertation sur ta copie. Dès la fin de l’alarme, un léger brouhaha débuta tandis que les élèves s’échangeaient leur avis sur le contrôle, se réjouissaient de la fin des cours, se chamaillaient et que le professeur tentait de les calmer tout en ramassant les examens. Un joyeux désordre dont tu ne faisais pas partie. Aucun des ados ne se tourna vers toi pour savoir si tu avais réussi ou si tu voulais sortir avec eux avant de rentrer chez toi pour le week-end. Tu étais seul. Une solitude qui ne te quittait que rarement depuis tes dix ans, depuis que ta famille s’était débarrassée de ta nourrice et des autres hybrides qui t’avaient élevé durant la majorité de ta vie.  

Tu avais l’impression d’être un étranger que ça soit chez toi ou à l’internat. Seul face le regard méprisant de ton père, à la moue désapprobatrice de ta mère, au sourire narquois de ta sœur et à l’expression indifférente de ton frère, tu avais compris que tu n’arriverais jamais à être l’un d’eux, jamais tu ne pourrais mépriser les hybrides, soutenir humanis et prôner la souveraineté de l’être humain sur les hybrides. Si tu les avais détestés petit de les voir te mettre à l’écart sans raison, désormais tu les haïssais pour t’avoir arraché ta famille de cœur et pour leur croyance idiote. Une animosité qui se mélangeait bien à la culpabilité de ne pas être intervenu ce jour-là.



”Monsieur Aubeclair, votre copie s’il vous plait.” Demanda sèchement la voix sévère de ta professeure et sans attendre elle t’arracha les feuilles des mains avec une mimique agacée. ”Eh bien, elle n’est vraiment pas patiente celle-là...” Tu soupiras et restas sans rien faire pendant quelques secondes alors que la classe se vidait rapidement. Tu n’avais aucune envie de rentrer chez tes parents. ”Monsieur Aubeclair, vous pourriez vous dépêcher de ranger vos affaires ? Je dois fermer la porte derrière vous.” Décidément... Elle ne pouvait pas te laisser cinq minutes ? Avait-elle un rendez-vous important pour se montrer si presser ?  Frustré, tu attrapas ton sac et quittas la pièce en la saluant à peine. Un vrai acte de rébellion, toi qui était toujours si poli.  



Bon et qu’allais-tu faire, maintenant ? Entre l’internat qui était fermé, la “prison” qui t’attendait et le mauvais temps qui t’empêchait de traîner dehors, il ne te restait pas grand chose...Aller te réfugier dans un musée ? Une bibliothèque ? Un café ? Au moins, tu aurais une bonne excuse pour ton re...”KARAN !” Un cri enthousiaste, une voix chérie et soudain tu te retrouvais avec une adolescente espiègle dans les bras. ”Ma petite fée !” Tu la fis tournoyer dans les airs, oubliant tes sombres pensées chassées face à ce rayon de soleil surprise. Un rayon de soleil qui t’avait permis de garder la tête hors de l’eau depuis le début de votre amitié au début de votre adolescence. Un rayon de soleil que tu gardais secret pour qu’ils ne puissent pas lui faire du mal. Jamais.





New York, 2063 :

Ta vie avait bien changé dans le lycée, tu n’étais plus cet adolescent grand, maigre et malhabile. Loin de là même, l’université avait été comme une renaissance loin de ta famille et leur influence nauséabonde. Tu avais enfin pu te lier à de nouvelles personnes, prendre confiance en toi afin d’exprimer pleinement tes envies et tes idées. Tu avais commencé à fréquenter une salle de sports pour te remettre en forme, puis tu avais travaillé sur toi grâce à psy, et grâce à la présence de ta petite fée et de nouveaux amis, tu avais enfin pu avancer. Oh, il t’arrivait encore aujourd’hui de traverser des passages à vide ou de ressentir une certaine culpabilité par rapport à ta famille de cœur, mais au moins tu n’avais plus envie de disparaître. Au contraire, à ton tour tu avais envie de tendre la main aux gens en difficulté. Tu avais commencé grâce aux réseaux sociaux, encourageant les gens à être le meilleur d’eux-mêmes, à se sentir bien dans leur peau... Assez rapidement, tu n’avais même plus eu besoin de tes petits boulots en tant que journalistes, vivant parfaitement grâce à Lifetime, Insta... et tes partenariats occasionnels.

Après ton diplôme, tu t’étais aussi décidé à rejoindre Unity pour aide une aide plus concrète aux hybrides, puisque leur cause était un sujet qui te tenait à cœur.  



Désormais, tu jongles entre les réseaux sociaux et l’organisation.