Selon Zorah il n'existe qu'une bonne façon de faire, et c'est la sienne. La guerre qui menace le pays le fait doucement rire, après tout pourquoi se soucier de tout cela, ce qui l'intéresse lui c'est la totale suprématie des hybrides, leur liberté absolue et l'annihilation de la race humaine. Il incarne le cliché même du déviant extrémiste à peu de choses près.
HUMAINS : Des être faibles et inutiles, bien trop stupides à son goût. Incapables de se débrouiller seuls, Zorah n'éprouve aucune once de respect et encore moins de sympathie à leur égard. Il est si facile de briser leurs os, de leur trancher la gorge et pourtant...Nombres d'Hybrides sont à leur botte, leur obéissant au doigt et à l'œil comme de vulgaires pantins. C'est pathétique, comment osent-ils considérer ses semblables comme de simples animaux de compagnies. Pour qui ces êtres égoïstes se prennent-ils ? Ils ont définitivement besoin d'être remis à leur place. Ce ne sont que des carpettes à peine bonne à piétiner, Zorah ne souhaite qu'une chose, les voir ramper à ses pieds une laisse autour du cou.
HYBRIDES : Ils sont sa "famille" la raison pour laquelle il se bat, tous les hybrides ne lui sont cependant pas amicaux, il souhaite les protéger et les voir libres oui. En revanche il ne comprend pas qu'un des siens puisse se plier aux exigences des Hommes sans se battre, s'en découle bien souvent du mépris et du dégoût.
Tout comme les hybrides faisant amis amis avec les humains, c'est un concept qui lui échappe totalement, mais ce n'est pas pour autant qu'il refusera de les aider en cas de besoin, il se montrera simplement un peu plus froid.
HUMANIS : Des ordures, voilà tout. Un bon Humanis est un Humanis à genoux. Pourtant tout deux partagent bel et bien une chose, leur arrogance et leur haine viscéral vis à vis de l'autre. Zorah n'est cependant pas stupide, il ne se lancera pas dans un combat qu'il n'est pas sûr de gagner, et n'ira pas chercher d'ennuis sans raisons. Les Humanis représentent également des contrats avec de grosses sommes à la clé, il s'agit de son gagne pain entre autres. Bien sûr ces derniers sont avant tout des humains à ses yeux, à qui on a malheureusement donné bien trop de parole, Il ne tarde au déviant de tous les faire taire définitivement.
UNITY : Probablement la plus grosse supercherie, et la plus grande foutaise que le monde n'ai jamais connu, l'un comme l'autre sont si risible, si pathétique, si ridicule... Bien souvent, Zorah se demande quand cette vaste blague prendra fin. Comment les siens peuvent encore marcher la tête haute après avoir "pactisé" avec leur tortionnaires, les responsables de leur...de son calvaire. Ils ont beau se proclamer égaux, il ne fait aucun doute que les Hommes chez Unity ne considèrent leur collègues hybrides comme des larbins uniquement. Il n'en est pas possible autrement, et lui ne prendra pas le temps de vérifier cela de ses yeux. Hors de question d'avoir à faire à ces clowns, parce que c'est ce qu'ils sont, avec leur messages de paix absolument écœurants.
DEVIANTS : Il est compliqué d'avoir un avis bien tranché sur ces deniers, être un déviant n'était pas forcément son but, mais il en fait aujourd'hui parti. Par conséquent, ce groupe est supposé être "le bon camp" , mais l'insécurité y règne, notamment un nombre assez important d'infectés en roue libre. En dehors de ça, Zorah se complaît dans le rôle du "méchant", certains sont selon lui trop hésitants quant à leur façon de confronter les humains, mais il est globalement satisfait d'avoir des hybrides partageant ses idéaux à ses côtés. Le jeune homme n'accorde cependant que partiellement sa confiance aux déviants, souvent issus de milieux difficiles, on est jamais à l'abri d'une traîtrise surtout financièrement parlant, il est mieux de ne pas montrer ce que l'on possède afin de ne pas attiser des regards trop envieux.