FORUM RPG MAÎTRE - HYBRIDE BASÉ SUR UN CONTEXTE DE REVOLUTION
2063. Il y a maintenant un petit peu plus de quarante ans que l’Homme a délaissé son humanité au profit d’une science infâme devenue banalité. New York est la ville la plus puissante du monde grâce aux expériences menées par la firme Chroma qui reste encore à ce jour le seul laboratoire apte à créer ce que l’humanité a décidé de nommer hybrides. Êtres mi-humains mi-animaux ils sont le fruit d’une avarice gouvernemental face au déclin de l’humanité ; cependant l’Humain n’a pu s’arrêter en si bon chemin et toujours plus cupides de cette science divine ils ont réduit ceux qui étaient avant leurs égaux en esclavage dans le seul but d’assouvir cette volonté de dominance.
SIXTINE
FONDATRICE
+ ...
CASSIEL
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+ Hunter et Saint
ZELDA
FONDATRICE
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SAORSA
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ALISTAIR
MODERATUR
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new york times
Octobre 2024
Event non canon Halloween en cours.
29 sept 2024
Fin Event canon appel à l'ordre.
01 juil 2024
Fin de l'Intrigue 3.
01 juil 2024
Réécriture guidebook.
01 juil 2023
Mise à jours des scénarios.
18 mars 2024
Lancement de l'Intrigue 3 et Automne.
updates des annexes
01 juillet 2024
Ajout de l'intrigue 3 et de ses conséquences.
01 juillet 2024
Mises à jour du côté de la BTD, nouvelle branche déviante et précisions sur l'infection.
NOS MEMBRES RECHERCHENT
• Octavia recherche son grand frère. • Hedda Osmund recherche des bénévoles et salariés pour son refuge. • Sun-Hi Moon Pak recherche des membres de My Hybrid Legend. • Norman Withers recherche sa fille. • Noah recherche le responsable de la mort d'Elian. • Mariah Soledad recherche sa famille. • Hope Nightingal recherche son patron. • Zelda Wick recherche un collègue de travail. • Svana Vigdisdottir recherche son ancien amant.
Vous vous doutez bien qu'avec les événements en cours, les tensions présentes dans toute la ville, les actions déviantes et cette mystérieuse infection prenant de l'ampleur, la panique commence à se faire sentir parmi la population.
Les hôpitaux sont pris d'assaut et bien vite les services sont saturés. Même si pour beaucoup de cas, il ne s'agit que de cette panique se manifestant et non un vrai besoin médical, beaucoup sont aussi victime véritable des événements.
Dans l'urgence, et parce qu'ils ne s'attendaient pas à un tel afflux si soudain, les hôpitaux de la ville, celui de Manhattan en tête, prirent des mesures radicales pour essayer de calmer tout ça. Tout médecin compétent, qu'importe leur service, qu'importe leur profession actuelle, qu'ils travaillent encore ou soient à la retraite, qu'importe leur appartenance politique ou leur point de vue sur ce qui se passe, tous sont enjoint à reprendre du service pour aider le personnel déjà à bout de souffle.
Et maintenant que les hôpitaux sont surchargés, ils deviennent encore plus vulnérables.
C'était déjà une journée très chargée, il n'y avait pas besoin qu'un événement ne vienne encore pas rajouter du boulot et du chaos, mais c'est ce qui arriva quand même.Une explosion retentit, faisant vibrer tout le bâtiment et exploser bon nombre de fenêtres, rajoutant encore plus de blesser au passage.
Personne ne sait vraiment ce qui se passe et tout le monde semble un peu sonné. Qui oserait faire exploser quelque chose dans un hôpital ?
INFORMATIONS : Ceci est le début de votre rp et vous donne donc le contexte. Vous êtes ensuite libre de faire ce que vous voulez (à commencer par choisir entre vous l'ordre de passage).
Vous n'avez pas de limite de temps pour répondre (gérer entre vous si jamais vous pensez mettre trop de temps pour répondre) cependant veillez à noter que nous interviendront pour demander des nouvelles s'il y a nécessité. Il n'est pas obligatoire d'utiliser le système de dés.
Nous ne modérerons pas votre rp sauf demande. Pour cela, appelez nous avec @ADMINISTRATION, sur le discord dans le salon dédié à votre rp.
Nous gardons aussi le droit d'intervenir si jamais nous voyons des complications ou des actions impliquant des répercutions (exemple : vous tuez un flic, il y aura forcément des répercutions).
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Mar 14 Avr - 2:07
Risques inconsidérés
Ft. Monsieur, Ian & Jay
Ces temps-ci je travaille beaucoup, tout comme Monsieur d’ailleurs. Il y a de plus en plus de gens qui passent au labo pour faire analyser des trucs en tout genre. Du coup, je travaille un peu plus qu’à l’habitude. Et c’est encore pire finalement pour Monsieur. La nuit dernière, il n’est même pas rentré. Je suis quand même inquiète pour lui et j’ai demandé à mes patrons, si je pouvais prendre une pause un peu plus importante afin de passer à l’hôpital pour donner divers éléments à Monsieur. Je lui avais donc préparé un bon repas, ainsi que des vêtements de rechange, en plus d’un café que j’avais mis dans un thermos. Je sais qu’il n’y penserait pas sur le coup, mais pour moi c’était quelque chose d’important. Il va de soi qu’il a déjà pris une tonne de café, sauf que je sais qu’il aimera encore plus celui que je lui ai apporté.
Je veux aussi m’assurer qu’il ait dormi quelque peu et si je peux être utile pour quoi que ce soit, cela me ferait plaisir. En fait, je veux savoir s’il va bien. Bien entendu, il m’a donné aucune nouvelle depuis que nous nous étions laissés la veille au matin.
Alors que je quitte le labo, j’écris un rapide SMS à Monsieur pour l’aviser de ma visite, puis je pars en direction de l’hôpital. Le trajet est plutôt long, puisque Monsieur m'a fortement recommandé de faire attention sur les trajets. Il se passe tellement de choses difficiles pour les hybrides que je préfère rester dans des rues sécuritaires, mais faisant tout de même attention pour ne pas me faire remarquer. J’ai tous les effets pour Monsieur dans un joli sac à fleur et je marche les quelques mètres restant jusqu’à l’hôpital, les yeux fixés sur mon objectif. J’entre rapidement dans le bâtiment, non sans pousser un soupir de soulagement, puis je file vers l’ascenseur afin de joindre l’étage où Monsieur travaille. Une fois montée, je regarde dans les couloirs à droite, puis à gauche. Hésitante, je m’avance vers la droite, cherchant du regard Monsieur.
Je mets quelques minutes avant de le voir, il est de dos, je souris, ravie de l’avoir enfin trouvé.
- Mon…, commençai-je.
Soudainement, une immense secousse me fait chanceler. Je m’agrippe après la barre d’appui, paniquée, puis je regarde autour de moi et je comprends rapidement que je ne suis pas la seule qui est inquiète.
- Monsieur ?, répétai-je d'une petite voix, en espérant que cette fois-ci il m’entende.
C'était la pagaille dans New York, sans parler de cette maladie étrange, semblable à la rage parait-il, qui devenait une véritable épidémie. Topher était bizarrement très motivé par le déploiement général lié à la crise sanitaire. Sa branche médicale était très sollicitée, entre les chercheurs, les analystes en anatomopathologie et les bactériologues, etc. Personne n'arrivait à déterminer avec exactitude l'origine de cette maladie infectieuse, ni comment la traiter. Pas même les meilleurs diagnosticiens. L'on mit cela sur le dos des hybrides. Topher s'acharnait particulièrement à étudier cette maladie mais, comme beaucoup, n'arrivait à rien de concret. Il avait ses suppositions.
L'hôpital de Manhattan était submergé quotidiennement par les admissions. Même Topher devait renfiler sa blouse et jouer les médecins soignants; statut qu'il n'avait pas vraiment (même pas du tout). Il détestait ça et préférait être dans son labo ou chez lui. D'ailleurs, il s'inquiétait beaucoup pour son hybride Romy. Il avait entendu parler d'enlèvements d'hybrides, de déportations, de bagarres, d'émeutes... Pouvait-elle seulement se balader sans craindre d'être arrêtée puis emprisonnée ?! Il n'était pas serein, d'autant plus qu'il n'était pas retourné chez lui depuis un jour et qu'il n'avait même pas pris le temps de la contacter. À chaque fois qu'il y pensait, la réalité le ramenait au travail à faire.
Alors qu'il consulte un patient symptomatique, armé de son stéthoscope, Topher est surpris par une secousse ! Les lumières vacillent et des fenêtres explosent. Le nerd a le réflexe de se mettre sur son patient pour le recouvrir et le protéger, ce faisant, il reçoit quelques éclats de verres - puisqu'il se trouvait non loin d'une fenêtre. Heureusement, rien de grave à part quelques petites égratignures qu'il ne ressentait pas. Il observa les alentours et les gens, pris de panique se mêlaient à demander la même chose : que s'était-il passé ? D'où cela venait-il ?
Ce fut alors qu'il vit Romy. Il se précipita pour aller la rejoindre.
- Romy ?! Ça va t'as rien ? demanda-t-il inquiet.
Il la rassura en lui frottant l'épaule doucement. Cependant, l'heure n'était pas vraiment aux questions ! Son attention se dirigea assez vite sur la panique généralisée qui grimpait en flèche. Il tenta de se faire entendre et de calmer les plus paniqués en haussant sa voix de poire flegmatique mais au lieu de ça, il se fit bousculer.
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Jeu 23 Avr - 5:46
RISQUES INCONSIDÉRÉS
Les récents événements mettaient Ian à rude épreuve. Il devait se battre sur tous les fronts, à sa manière, afin de parer à cette crise sanitaire et tout ce qu'elle pouvait engendrer. Cela avait déjà commencé avec l'augmentation de ses heures de travail ou encore les conciliations avec les Déviants, quelques jours auparavant.
Dans ces moments-là, Ian regrettait sa vigueur de jeune homme, que désormais seule la force de ses convictions parvenait à égaler. Avec la recrudescence des patients admis à l'hôpital, il dût quitter les refuges d'Unity pour se permettre de s'occuper de plus de gens. L'équipement dans les refuges ne pouvait pas égaler celui des hôpitaux. Même si les hybrides restaient une priorité pour lui, il ne devait pas négliger les siens qui souffraient d'un mal plus virulent, que les hybrides ne semblaient pas subir de la même façon. À commencer par les symptômes. Il avait noté, comme nombres de ses confrères, que la fièvre était particulièrement revêche chez les Hommes. Cela dit, cette maladie ne faisait pas de compromis pour autant.
Heureusement pour Ian, la situation à New York n'était pas aussi désespérée qu'une zone de guerre et la maladie n'atteignait pas non plus des sommets catastrophiques tels que les fièvres hémorragiques. Bien sûr, il fallait s'équiper convenablement pour prévenir la maladie et le vieillard n'y échappait pas.
En ce jour, la plupart des patients qu'il accueillit venaient pour des symptômes idiots. Bref, beaucoup de fausses alertes qui eurent presque raison de lui, jusqu'à ce qu'une explosion ne vint secouer le bâtiment. Alors en pleine consultation, il jeta un coup d'œil par la fenêtre. L'explosion n'était pas loin mais pas assez proche pour un danger immédiat.
« En fin de compte, il se pourrait bien que ce soit un champ de bataille. » murmura-t-il par cynisme.
Il abandonna son patient anxieux, qui n'avait absolument rien de grave, lui conseillant vivement de rentrer chez lui. Il sortit ensuite de sa salle de consultation, constatant sans surprise que tout l'étage était paniqué. Chacun essayait de ramener le calme mais cela ne faisait que créer plus de brouhaha, le pépé comptait bien faire cesser l'angoisse générale. Les faits n'étaient pas un mystère, quelque chose avait explosé. Fuite de gaz, accident, attaque à la bombe ou quoique ce fût, il n'y avait qu'une seule ligne de conduite à adopter sur l'instant.
Un classeur en main, le vieil homme tapa fortement et à plusieurs reprises sur le comptoir à l'accueil, provoquant moult fracas afin d'attirer l'attention des patients et du personnel.
« Écoutez-moi tous. Il faut s'attendre à passer en code noir. Suivez les instructions du Médecin en Chef. Ne vous précipitez pas. » déclara-t-il à voix haute, sur un ton maîtrisé.
Sans rétablir l'ordre et en négligeant les priorités, ils ne pouvaient s'en sortir. Ce n'était pas à lui de déclencher ce genre d'alerte, ni même de gérer les évacuations de cette envergure. Il laissa donc les professionnels s'occuper de la situation. Lui, il était un soldat dans l'âme. Un vétéran de la guerre qui ne pouvait pas reculer en sachant qu'il pouvait aider. Ses actes prirent le dessus sur ses pensées, n'écoutant et ne se mouvant qu'à la poursuite de son instinct qui voulait le mener au devant du danger.
Ian se dirigea à l'inverse du mouvement de la foule de l'étage. Il s'en allait vers là où l'explosion semblait s'être déclenchée. C'était de la folie mais l'hôpital était bondé ce jour-là, c'était impossible que cet incident n'eut fait aucune victime. Il n'était pas question de céder à la panique ou la peur. Bien entendu, pépé n'envisageait pas de se sacrifier bêtement, il avait foi en son expérience et saurait juger une situation périlleuse. Plus ou moins. Le renfort d'un grand gaillard n'aurait pas été de refus cela dit.
En chemin, il croisa Topher, ce jeune interne dont il avait été le mentor. Pas longtemps mais avec plaisance. Sa jeune hybride était avec lui.
« Tiens, tiens. Mister Wallenstein et... Miss Romy ? » dit-il tandis qu'il venait presque de les bousculer.
Il ne s'attarda pas trop cela dit, il avait à faire.
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Mar 28 Avr - 1:03
RISQUES INCONSIDÉRÉS
feat. ROMY, TOPHER ET IAN
Infirmière de 26 ans, Marjorie Blanchard est une jeune française expatriée à New-York depuis des années en chirurgie pédiatrique. Pétillante, souriante et courageuse elle est le soleil de ses collègues qui n'hésitent pas à vanter sa détermination souvent mise à rude épreuve.
Le visage couvert de noir, le corps écorché et les vêtements abimés ici et là le bruit des petits talons de l’infirmière sont couverts par les cris et le brouhaha ambiant. Ses oreilles sifflent, elle tente de descendre les escaliers en aidant une petite dame tenant difficilement debout. Bousculée elle manque de tomber alors qu’un de ses collègues se précipite pour aller l’aider à récupérer la patiente ; la femme lui donne des ordres, tremblante et blessée par l’explosion l’ayant épargnée de justesse. Un étage au-dessus de vous, elle n’a pas été épargnée alors qu’elle relève ses yeux bleus vers vous. « Doc. » Un soupir s’échappe d’entre ses lèvres, les dents serrés sous la douleur elle refuse cependant de suivre l’homme cherchant à calmer la situation. Ian c’est toi qu’elle semble appeler en se rapprochant encore.
« Docteur Barisada, vous allez bien ? Vous semblez avoir été épargné à cet étage Dieu soit loué. Madame, Monsieur. » Topher et Romy elle vous salue d’un signe de tête maladroit de son accent prononcé alors qu’elle tente de reprendre ses esprits. « Tout était calme et d’un coup une explosion a retenti. On a été violemment happés à l’étage juste au-dessus mais je ne sais pas où ça a pris. Peut-être celui encore au-dessus ou encore encore. Merde tout est allé si vite. Il faut … Il faut aller chercher les patients en urgence. » Elle a beau tenir à peine debout elle s’élance déjà pour retourner dans le feu de l’action. « On doit prendre les devants avant l’arrivée des pompiers, restez sur vos gardes on ne sait pas ce qui a déclenché l’explosion mais on peut tout miser sur un attentat. On ne sait même pas à quoi s’attendre en haut … »
Au même moment, vos collègues tentent de gérer la situation au rez-de-chaussée, les personnes aptes à se mouvoir sont évacuées en dehors de l’hôpital pour être prises en charge à l’extérieur et laisser la place aux forces de l’ordre et aux pompiers arrivant sur les lieux d’intervenir. La foule paniquant se calme petit à petit et les personnes en nécessité sont elles aussi mises à l’abri avec l’aide de certains civils. Les rumeurs sont déjà présentes entre deux sirènes balisant les lieux pour les sécuriser et leur permettre d’intervenir.
RÉSUMÉ DU POST : Alors que la foule se calme petit à petit en bas, Marjorie se présente à vous en descendant de l'étage du dessus. Happée plus violemment que vous par l'explosion elle tente de vous expliquer ce qui a bien pu arriver et tente aussitôt de repartir aider les patients toujours coincés. Les forces de l'ordre et les pompiers arrivent mais vous faites partis de la ligne de front. A vous de voir si vous souhaitez intervenir seuls et prendre les devants. Pour l'instant vous savez que l'explosion a frappé de plein fouet un étage au dessus de vous sans savoir où ni comment. Marjorie vous fait savoir qu'il pourrait s'agir d'une attaque terroriste mais vous n'avez pour l'instant aucune preuve. Vous ne savez toujours pas si un feu s'est déclenché.