Zelda sortait de moins en moins de chez elle, tout ce remue-ménage dehors l'énervait, et lui faisait peur aussi. Il y avait de plus en plus d'accidents et de problèmes, ce qui rendrait son travail encore plus prenant qu'en temps normal. Et comme cela ne suffisait pas, elle était maintenant appelée pour une histoire d'accident, ou peut-être de meurtre selon ses supérieurs. Une personne était décédée dans la dernière manifestation de la ville. La criminologue se rend alors sur place, mais à son grand désarroi, la scène avait déjà été nettoyée, et déjà réouverte au public, trouver des indices serait extrêmement compliqué. Homme entre 30 et 40 ans, corpulence normale, emploi stable. Après un long soupir de désespoir, elle commence à interroger les passants. Qui sait, peut-être qu'il avait des connaissances dans le coin ?

Excusez-moi, je cherche des personnes qui ont été présentes durant la dernière manifestation, il y a eu un accident, quelqu'un à vu quelque chose ?

réadoptée, enfin, depuis peu, j'étais une hybride heureuse et comblée. Ma nouvelle maîtresse était stricte, pas toujours gentille. Mais cela ne me dérangeait pas. Au contraire, l'apprentissage en serait meilleur. Aujourd'hui, j'étais de sortie. Pas de travail, juste des courses. Je devais acheter du lait, des œufs et de la farine pour des crêpes. Telle était ma première liste. Mais, entre temps, c'était rajouter un autre achat ; des talons hauts. Connaissant la taille de pointure de ma maîtresse, j'avais été surprise que cela ne corresponde pas, d'autant plus que seul hypnos, son autre hybride avait été présent. Mais ne m'en inquiétant pas plus que ça, j'avais pris la liste et n'achèterai pas les talons. Si cela était ma maîtresse qui me l'avait écrit, alors elle pourrait toujours me punir, je l'aurais bien cherché au fond !

Passant dans la rue principale, je vis une foule de gens qui manifestait. Cherchant à les esquiver, j'eus la très bonne idée de passer ... Devant le cortège. Rapidement, je fus pris dans la marée humaine qui, malgré mes cris, continua leur manifestation gaiement. Et soudain, je vis ...

À la bourre... J'étais à la bourre. La police était arrivée après la découverte du corps. Prise en témoin, j'avais été isolé. Rapidement, les policiers nettoyèrent la zone et emmenèrent le corps. Pour eux, l'enquête était close, c'était un accident, cela ne faisait aucun doute. La personne avait été piétinée par la foule et était morte de ses blessures. Finalement, n'ayant pas besoin de moi et me sentant nerveuse, ils me laissèrent repartir. Prenant mon sac de course, je voulus me remettre en route, mais j'entendis une personne demander s'il y avait des témoins. Réfléchissant assez vite, je m'en approchai en levant timidement la main :

- M... Moi, j'ai tout vu ma.... Madame !