FORUM RPG MAÎTRE - HYBRIDE BASÉ SUR UN CONTEXTE DE REVOLUTION
2063. Il y a maintenant un petit peu plus de quarante ans que l’Homme a délaissé son humanité au profit d’une science infâme devenue banalité. New York est la ville la plus puissante du monde grâce aux expériences menées par la firme Chroma qui reste encore à ce jour le seul laboratoire apte à créer ce que l’humanité a décidé de nommer hybrides. Êtres mi-humains mi-animaux ils sont le fruit d’une avarice gouvernemental face au déclin de l’humanité ; cependant l’Humain n’a pu s’arrêter en si bon chemin et toujours plus cupides de cette science divine ils ont réduit ceux qui étaient avant leurs égaux en esclavage dans le seul but d’assouvir cette volonté de dominance.
SIXTINE
FONDATRICE
+ ...
CASSIEL
FONDATEUR
+ Hunter et Saint
ZELDA
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SAORSA
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ALISTAIR
MODERATUR
+ NIKITA, STANISLAS
new york times
Octobre 2024
Event non canon Halloween en cours.
29 sept 2024
Fin Event canon appel à l'ordre.
01 juil 2024
Fin de l'Intrigue 3.
01 juil 2024
Réécriture guidebook.
01 juil 2023
Mise à jours des scénarios.
18 mars 2024
Lancement de l'Intrigue 3 et Automne.
updates des annexes
01 juillet 2024
Ajout de l'intrigue 3 et de ses conséquences.
01 juillet 2024
Mises à jour du côté de la BTD, nouvelle branche déviante et précisions sur l'infection.
NOS MEMBRES RECHERCHENT
• Octavia recherche son grand frère. • Hedda Osmund recherche des bénévoles et salariés pour son refuge. • Sun-Hi Moon Pak recherche des membres de My Hybrid Legend. • Norman Withers recherche sa fille. • Noah recherche le responsable de la mort d'Elian. • Mariah Soledad recherche sa famille. • Hope Nightingal recherche son patron. • Zelda Wick recherche un collègue de travail. • Svana Vigdisdottir recherche son ancien amant.
Tu hais l'être Humain. Des êtres hypocrites, matérialistes et inhumains, qui se pensent toujours plus hauts que les autres. Qui osent décider que certaines vies sont moins importantes que d'autres et les transforment en des créatures qu'ils esclavagent. Tu n'as jamais été quelqu'un très proche des autres, et cette partie de ta vie t'as permis de savoir à quel point tu ne fais pas confiance à ces êtres et que tu ne voudrais jamais revenir à cette nature que tu hais tant. Ce sont eux qui sont contre nature et qui ne méritent pas de vivre sur cette terre qui recèle tellement de merveilles qu'ils détruisent peu à peu.
Les hybrides sont ta deuxième famille désormais. Des êtres comme toi, qui ont été capturés pour devenir ainsi et traités comme des moins-que-rien. Ils sont victimes de ce système incompréhensible et monstrueux, qui ne laisse pas la place aux personnes non-normales à leurs yeux. Naïvement tu espères que tous les hybrides puissent être de cet avis, même au fond d'eux lorsqu'ils ont été totalement lobotomisé par les Humains.
Les Humanis sont les pires de tous. Coupables de tous les malheurs des hybrides et de leur esclavage. Des monstres sans aucune morale qui pensent que tout leur est dû. Un groupe peuplé de lâches, qui se sentent puissants. Ils n'ont pas idée à quel point ils sont ridicules et qu'ils sont de petites choses insignifiantes. Ils ont beau avoir le pouvoir sur cette ville, tout peut finir par s'écrouler s'ils baissent leur garde trop longtemps... Tout est une question de temps avant que tout ne se retourne contre eux, et leur montre à quel point leur organisme n'est qu'une erreur.
Les Unity sont un groupe que tu as du mal à comprendre. Notamment parce qu'ils sont peuplés avant tout d'Humains qui veulent sûrement avoir une bonne conscience par rapport à tout ce qu'il se passe. Là est le problème, ils sont Humains. Ils ont beau aider des hybrides, dire qu'ils sont contre l'esclavage et font tous les efforts du monde pour rendre la vie des hybrides plus douces, ils restent les maîtres. Ils restent des créatures qui sont la cause de la création des Hybrides. Bien que tu leur en veut moins que les autres, tu gardes une très grande méfiance envers ce groupe et n'admettra jamais leur utilité, même s'ils en ont une au fond...
Et enfin, les Déviants. Ta deuxième réelle famille. N'importe si certains sont plus des monstres que les Humains, peu importe si certains te détestent ou ne veulent pas te voir. Peu importe qui ils sont, d'où ils viennent, ce qu'ils ont fait, tu leur doit tout. Ils sont tout pour toi. Tu pourrais donner ta vie pour eux. Tu es et seras toujours fidèle à ce groupe. Tu acceptes et suis totalement leur manière de penser, d'êtres et ce qu'ils veulent faire pour renverser la suprématie des Humains. Tu es à leur service, jusqu'à ta mort. Après tout, c'est en mourant au combat et pour une cause juste que les portes du Valhalla te seront ouvertes, et tu pourras goûter au repos éternel, sans plus aucun regret.
SIGNES DISTINCTIFS
Peu de personnes ont eu l'occasion de voir ton visage, ou ne s'en souviennent plus. Toujours dissimulé derrière un masque à gaz. Des vêtements sombres, qui se fondent facilement dans le paysage new-yorkais.
Ceux qui savent comment tu es derrière le masque sont privilégiées par rapport à d'autres, car tu le détestes. Tu hais ton visage, tout comme ton corps entier. Un visage à moitié brûlé, où l'on peut tout de même voir des yeux d'une couleur bleu grise. Des cheveux blonds. Une chevelure courte, assez décoiffée et abîmée. Lorsque tu ne portes pas ces vêtements et ce masque (notamment pour dormir ou prendre ta douche) tu es souvent seul ou alors avec un masque plus discret et moins encombrant. Une taille d'environs 1m75, un corps semblant assez maigre, mais qui possède une fine musculature.
Tes hybridations, on ne les voit pas non plus, dissimulées derrière tes vêtements. Une longue queue d'ocelot et des oreilles au sommet de ton crâne. Tes canines sont plus longues qu'au début de ta transformation. Une langue devenue légèrement fourchue, qui te fait zozoter. Des écailles qui semblent doucement faire leur apparition sur ton corps.
Ton corps, en globalité est assez abîmé, c'est surtout ton visage qui a été le plus touché, et donc plus brûlé que le reste de ton corps... Il reste cependant touché en son intégralité et tu dois vivre avec une honte continue.
Tu as une voix mélodieuse, tu aimes chanter dans ton coin, ça te rassures, ça t'apaise l'esprit. Tu peux la faire vibrer jusqu'au plus grave. Tu sais parler anglais, mais aussi le vieux norrois, en plus de ta langue maternelle qui est le suédois. Avant, tu t'appelais "Soren Sveinsson" avant que tu ne te donnes un surnom.
CARACTERE
Aujourd'hui, tu es connu pour être un homme assez discret, voir effacé. Tu ne parles pas sauf si on te le demande ou que la situation est propice à la discussion. Tu ne prends pas de place, tu n'es pas celui que l'on remarque au premier coup d’œil. Tu es cette ombre, cette présence dans un coin, qui observe. Tu ne seras pas celui qui attirera l'attention mais celui qui la demandera. Tu es connu des Déviants pour être celui qui écoute et suit les ordres sans rechigner, qui ne dit jamais ce qu'il pense vraiment. Celui qui est fidèle à son groupe et serait prêt à mourir pour ce dernier.
Derrière ce masque à gaz et cet accoutrement sombre qui cache tout ton corps, il est très difficile de savoir ce que tu penses et si tu dis vraiment la vérité. Tout est dans ta voix, qui est assez basse et légèrement étouffée par le masque. Peu de personnes savent comment tu es sous ce masque, et la plupart ne savent tout simplement pas comment se comporter avec toi. Mais ce qui est sûr, c'est que tu es digne de confiance pour tous les hybrides et surtout, aux Déviants qui ont tant fait pour toi.
Sous ce masque, on a cette personne timide, réservée, qui veut tout faire pour ceux qu'elle apprécie. Mais aussi cet homme sympathique, observateur et courageux, qui n’hésite pas à risquer sa vie pour sauver celle de ses compagnons. Un homme loyal, vrai, qui n'aime pas mentir sauf en cas d’extrême urgence. Mais aussi celui qui n'a pas tant confiance en lui que ça, qui déteste son corps entier, et voudrait un jour être aimé pour ce qu'il est... Mais qui ne s'aime pas assez pour laisser aux autres la possibilité de le voir en entier. Cet homme intelligent, qui prend le temps d'évaluer, d'essayer de prendre les meilleures décisions possibles pour ne pas décevoir.
C'est toi, Jör. Ce même garçon, qui des années plus tôt, était encore un Humain normal, plutôt charmant, avec un grand sourire malgré tes problèmes personnels. Cette identité a été enfouie tout au fond de toi, avec tout le peu d'amour que tu avais pour toi avec. Tu veux être avant tout utile, qu'ils savent qu'ils peuvent te faire confiance.
Tes problèmes, tes états d'âmes, tu les gardes pour toi. Tu n'es pas réputé pour te plaindre ni de parler de ta petite personne. Tu laisses passer les autres avant toi, tout le temps. Ça te gêne de parler de toi, de ce que tu ressens, avec toujours cette impression d'ennuyer. Pourtant ça te ferais du bien de te confier. Les déviants sont ta deuxième famille. Tu es assez détendu avec eux, et parfois un peu collant. Tu aimes avoir de l'attention, même si ce n'est qu'une simple caresse sur le haut du crâne, une petite tape sur l'épaule, un simple « merci », un « bon travail »... De la peur de ta communauté, cela veut dire beaucoup pour toi. Tu restes comme un enfant au fond, à l'apparence d'adulte.
Mais... Tu as beau avoir l'air d'être un gentil gars, ce n'est qu'avec ton groupe et certaines personnes, que tu as l'air inoffensif. Car on sait aussi que tu peux être une vraie machine à tuer. Lorsque l'on dit que tu écoutes sans rechigner, c'est vrai : tu serais capable de tuer même la progéniture d'une demoiselle si c'étaient les ordres. Tu n'as pas la même notion de bien et de mal que les autres... Et tu te poses rarement la question. Tout ce que tu fais, c'est d’exécuter les ordres, faire ce que l'on te demande, pour le bien de ta communauté. Le sang, les cris... On croirait que cela ne te fait plus rien, mais au fond, ça torture ton ancien toi, cet homme inoffensif et innocent que tu étais.
Pourtant, chaque soir tu pries. Chaque soir, tu vas devant cet autel, que tu as créé de tes mains. Avec dessus une photo de tes parents, quelques effets personnels. Un autel qui a l'air de venir d'un autre monde pour les autres, mais pour toi, ça te rappel simplement ton chez toi, tes origines. Tu pries le père de tous les dieux, qu'il est accueilli tes parents au grand banquet des guerriers, et qu'ils boivent ensemble en sa compagnie et d'autres grands guerriers. Tu es encore beaucoup attaché à ta culture, à tes traditions qui ne t'ont jamais quittées. Ces divinités, qui n'existent pas pour certains, mais qui pour toi sont bien réelles et continues de faire leurs œuvres dans ce monde. Cette amulette que tu portes autour de ton cou, ne le quitte jamais, et seul toi en connaît l'existence, cachée sous tes vêtements, symbolisant le marteau de Thor et qui te fait sentir en sécurité... Protéger par des forces invisibles.
Mais en ce moment, tu te sens fébrile. Comme si quelque chose te suivait constamment. Des voix, tu entends des murmures, même lorsque tu t'apprêtes à te coucher. Parfois, tu crois voir Loki, qui se faufile dans la foule, ricanant. Une impression de caresse, une senteur boisée de Freyja. Une impression de chaleur étouffante, parfois glacée, comme entre deux mondes, que tu connais si bien. Parfois, il t'est difficile de ne pas répondre à ses voix, essayer de communiquer, chercher à savoir si ce n'est que des hallucinations ou si tes yeux ne te trompent pas. Au fond de toi, tu veux que ce soit vrai. Alors tu cherches. Encore et encore, tu parles, sans te rendre compte de ces longs monologues que tu fais, seul dans une pièce ou parfois même en pleine rue.
Ces sentiments étranges qui trop souvent te prennent l'estomac, te font vriller la conscience. Tu ressens de la colère, de la peur, des envies de hurler, de frapper. Des pulsions incontrôlées comme si quelqu'un jouait avec ton corps et ton esprit. Quelque chose ne va pas et tu le sais depuis longtemps maintenant. Tu commences à vriller, à chuter au plus profond des ténèbres... Et tu vois cette lumière doucement s'éteindre. Ton corps, doucement change aussi, et tu le détestes, de plus en plus. Une souffrance au quotidien que tu t'efforces de ne pas montrer. Mais cela devient de plus en plus évident, et beaucoup savent déjà que quelque chose ne va pas chez toi, et ça ne fait que de commencer et jamais cela se finira.
HISTOIRE
Il fait souvent froid dans ce petit village de la Suède. Un petit village d'à peine 150 habitants. Ils se connaissaient tous, certains jeunes allaient dans les grandes villes, mais la plupart restaient vivre aux côtés de leur proche et profiter de la belle nature qui les entouraient, loin de la pollution. L'hiver était l'une des saisons les plus magnifique à cet endroit, quand toute la neige recouvrait les collines et les vastes étendus de végétations. On pouvait y voir des animaux s'avancer prudemment et chercher quelques pousses qui auraient survécu au froid hivernal.
Un petit village avec toute la technologie que le monde peut offrir : électricité, réseaux, eau potable et transports. L'architecture était cependant un peu moins évoluée, et le village comptait surtout sur les petits commerces pour faire vivre ce dernier : boulangerie, charcuterie, boucherie, épicier, coiffeur... Et aucun grand commerce n'était à sa place, dans ce village qui fonctionnait très bien grâce à ses habitants et à ceux qui avaient de l'or dans les doigts.
Ce village avait une particularité, que beaucoup l'enviaient. Traditions et mœurs nordiques étaient restées ancrées en eux, comme s'ils n'étaient jamais partis, un village devenu touristique pour ces événements tous au long de l'année et pour son infrastructure hors du commun par rapport aux autres villages et villes des alentours. Des sculptures, hôtels et d'autres choses faisant penser aux Dieux nordiques souvent trop oubliés pas leurs semblables.
Tu es né dans ce village, tes parents sont toujours voulu un enfant, et te voilà, le cadeau des Dieux comme disait ta mère souvent au creux de tes oreilles. Tu as grandi dans cette ambiance et parmi les nombreuses histoires et contes nordiques que te lisait souvent celle-ci au bord du lit. C'est elle qui t'as mit tout ça en tête. Elle et sa famille, ont toujours été très proches de ces Dieux et ont toujours habités dans ce beau village. Tu as grandi en étant persuadé que ces Dieux étaient bel et bien là, à vous observer, à prendre avec grand plaisir tout ce que vous leur offriez. À récompenser ceux qui en valent la peine, tout comme punir ceux ayant commis des fautes et insultés les Dieux... Tu étais loin de penser que ça allait devenir une obsession.
Tu aurais pu devenir sculpteur, ou alors épéiste. Tout dans ce village pouvait t'offrir la paix et une vie longue et heureuse, parmi une population respectueuse des traditions et souvent animée grâce aux nombreux touristes venant visiter, crécher ou participer aux événements du village. Mais très tôt, l'on s'est déjà aperçu que quelque chose n'allait pas chez toi. Ce n'était pas bien grave en soit, tu étais juste un jeune homme qui avait beaucoup de mal à se concentrer. Il te fallait beaucoup d'exercice, et rien que de devoir s'asseoir pour étudier ou travailler t'ennuyais. Tu préférais être aux côtés de ton père quand il était là. Il adorait créer des épées et sabres avant tout pour le côté décoration, mais il a fini par t'apprendre à en utiliser. Ça te canalisais, et t'occupais.
Tu as passé ta scolarité dans cette petite école du village, qui ne prenait que jusqu'à l'adolescence. Parce qu'à partir de là, il te fallait aller à l'école de la ville la plus proche. Et ce fut une vraie épreuve pour toi. Tu n'arrivais pas à vraiment t'intégrer. Tu étais le petit gars bizarre.
Tu as préféré chasser ces souvenirs de ta mémoire, à moins que ce soit ton cerveau qui l'a décidé pour toi ? D'enfouir tous ces souvenirs négatifs au fond de ta conscience, ces sensations de coups dans tes côtes, ces humiliations, ces rires et ces moqueries. Ils ne sont qu'un vague souvenir qui plane encore au-dessus de ta tête et qui parfois au bord du lit reviennent et hantent tes rêves.
Tu as fini par tout simplement revenir à la maison pour suivre les cours par correspondance. Bien qu'encore une fois, tu eus beaucoup de mal, même avec l'aide de la maîtresse du village. Tous ça te passais au-dessus de la tête, même en y mettant tous les efforts du monde. Tu savais que tu étais pas normal, mais ce village te permettais de ne plus y penser. Tu continuais à t’entraîner avec ton père, bien que tu le sentais plus distant, de plus en plus au fur et à mesure des mois. À côté, la guitare fut un instrument qui elle aussi, t'aidais à penser à autre chose, te canaliser et peut-être t'offrir une autre perceptive d'avenir. Gratter ces cordes, écouter la mélodie qui en découle, et chantonner... Rien n'était mieux pour te sentir bien, comme flotter sur un nuage, être dans un autre monde. Faire plaisir aux quelques personnes âgées pour rendre leurs journées meilleures.
Tu as 20 ans. Pendant un hiver, un soir où un rêve t'avais réveillé en sueur en pleine nuit. C'est le matin même où l'on t'a annoncé ce déménagement aux Etats-Unis. L'entreprise de ton père fut délocalisée jusqu'en Amérique. Ce fut cette chose qu'il avait eut du mal à dire, et à vrai dire, il avait beaucoup hésité à refuser, mais ce travail comptait pour lui. N'étant pas de ce village à la base, il n'était pas aussi attaché à ce dernier, ni même aux traditions et cette ambiance que ce village offrait. Il était temps de se détacher de ce petit village pour voir plus grand, changer d'horizon et de style de vie et d'avoir une vraie maison à eux... Ce fut dur d'abandonner la maison familiale, mais il le fallait.
Un nouveau bouleversement, pour l'enfant que tu étais intérieurement. Tu avais vu ça comme une erreur monumentale et un changement de vie radicale, qui n'allait certainement pas en votre sens. Tu as senti ce couteau transpercer ton cœur, ton estomac se retourner, ton esprit se brouiller. Tu te demandes toujours pourquoi tu n'es pas resté. Tu étais majeur à ce moment-là, tu aurais pu rester chez cette petite mamie qui t'adorait, tu serais devenu bûcheron ou sculpteur de bois. Mais te séparer de tes parents avait été impossible. Et dans ton état, tu avais besoin d'eux.
New-York.
Le voyage jusqu’à cette ville t'a été insupportable. Rien que de voir la ville de l'avion, t'avais donné des frissons d'horreur. Une gigantesque ville. Puant le goudron, la pollution, et d'autres choses que tu n'as pas eus le cœur à décrire.
C'est pendant cette période que tu es entré dans une dépression sévère. Un changement de vie radicale, totalement perdue dans une ville qui ne te plaisait pas le moins du monde, et un pays où tu aurais voulu ne jamais aller. Une longue période de doute, de colère, de recherche... À te demander qui tu étais, à quoi tu servais, ce que tu pourrais faire pour sortir de là. Tu en voulus beaucoup à tes parents, et ce pendant plus d'une année. C'est l'année suivante que tu as tenté de reprendre tes esprits, sortir de cette petite chambre pour affronter l'extérieur et le regard de tes parents.
Tu n'as aucunement profité de cette nouvelle vie qu'ils ont voulu t'offrir. Tu n'eus pas le temps de réellement t'ouvrir au monde qui était ouvert devant toi. Persuadé que tout ça n'était pas fait pour toi, et que jamais tu allais pouvoir te fondre dans la masse. Tu étais si gentil pourtant. Au fond, tu avais envie de t'élancer, essayer de prendre ta vie en main, et de t'habituer à tout ça. Priant chaque soir pour que les Dieux ne t'abandonnent pas en chemin malgré que tu étais parti de cette terre si douce et calme.
Le temps passe d'une lenteur infernal. Ils ont essayé de te faire voir un psychologue pour t'aider à remonter la pente, même si tu y arrivais de toi-même mais beaucoup trop lentement pour ce monde.
La nuit du 5 juillet, vous avez vu les flammes du Muspellheim. La chaleur vous a tous presque consumés. Tu es partie d'une bonne intention. Tard dans la nuit, pendant que tous dormaient. Un autel, créer de ce que tu as trouvé, en plein dans le salon. Des bougies disposées là où elles devaient être disposées... Tu as tant prié ce soir-là. Seul, dans les bruits incessants de cette ville de malheur.
Tu as très peu de souvenirs de cette nuit-là. Tu as entendu des bruits. Les tiens ont été étouffés au plus profond de ta gorge, tandis que tu te débattais dans l'appartement en flamme. Tu ne te souviens que de cette chaleur étouffante, cette douleur saisissante. Ces cris et ce bruit sourd, avant que tu ne perdes connaissance.
Tu t'es réveillé dans ce lit. Cette pièce d'un blanc immaculé, ces odeurs de médicaments et de produits d’entretien. Ce sont d’abord les douleurs qui t'ont arraché un gémissement de douleur. Ensuite les odeurs, et ces voix. Ce bruit métallique quand tu as essayé de bouger tes jambes. Tout ton corps ou presque, enroulé de bandages.
Tu as mis des jours à te rendre compte de ce qui arrivait.
L'appartement brûlé.
Tes parents décédés.
Cette chaîne autour de ta cheville.
Mais la goutte d'eau, fut certainement ce jour où tes bandages sont été enlevés, pour y découvrir le monstre que tu étais devenu. Quasiment brûlé sur l'entièreté du corps, le visage plus touché que le restant. Tu as cru perdre les pédales à ce moment-là. Ta conscience n'a plus répondu.
La descente « aux enfers » comme aiment dire les chrétiens, ne se finissait pas. Cela faisait un moment, sans que tu ne puisses savoir combien de semaine sou de mois passé à l’hôpital, tu as été transféré. Au début, tu n'as pas fait la différence entre les deux bâtiments. Ils se ressemblaient à quelques détails près, mais, emprisonné dans une sorte de cellule, tu savais que plus rien n'allait aller pour toi. Tu te haïssais. Toi, ton corps, tout. À nouveau, ton cerveau a enterré cette période dans un coin de ton esprit. Tu as peu d'images, mais surtout des sensations, et des bruits qui surviennent encore aléatoirement dans ta vie actuelle. Incapable de te regarder dans un miroir.
C'est qu'à la fin de cette période d'horreur, que tu as encore des traces, ds souvenirs de cette sortie. La sortie de ce laboratoire qui t'a fait devenir une créature. Un hybride. Mi félin, mi-reptile. Il n'y avait plus aucune trace d'Humain en toi, tu le savais. Tout ce que tu avais d'Humain a disparu, tu ne voulais plus en trouver une seule trace toi-même. Complètement abandonné par tes semblables et trahis pour devenir cette chose horrible que tu es. Punis par les Dieux.
Sous l'étonnement de tout le monde autour de toi, tu n'es pas resté en boutique bien longtemps. Cet endroit anxiogène qui aurait pu te rendre fou, était loin d'être pire que ce que tu allais vivre aux côtés de cet homme.
Tu te souviens encore de son visage, de son corps imposant par rapport au tien. Des traits fatigués, marqués par le temps, une peau presque livide. Ses yeux gris ne respiraient aucunement la sympathie, petit et étirés. De grandes mains abîmées, le dos un peu voûté. Des cheveux bruns, légèrement ondulés, dont des mèches retombaient sur son visage carré.
Cet appartement était à la limite du délabré. Comment avait-il réussi à t'acheter, avec une vie aussi misérable ? Tu avais été largement bradé à cause de ton physique repoussant, mais même ça t'avais surpris.
Tu n'as vécu que 2 ans et demi avec lui, mais ce furent les deux ans les plus durs psychologiquement. Traité comme un monstre, enfermé dans l'appartement continuellement, à voir très peu la lumière d jour à part au travers des carreaux. Tu y avais de toute ta volonté pourtant. Tu en as mis de l'énergie pour rendre cet appartement vivable, surtout pour toi. Ce qu'il avait besoin, c'était d'un sous-fifre en plus d'un souffre-douleur. Se servant de ton physique pour se sentir supérieur et de te traiter comme un monstre. À côté, Quasimodo avait la belle vie.
Cette haine pour les Humains grandissait comme ça. Elle grimpait, de plus en plus jusqu'à que ta conscience te hurle de faire quelque chose avant de crever là comme un moins-que-rien. Ce gentil garçon que tu étais, s'effaçait pue à peu, s'enfonçait au plus profond pour s'entourer d'un mur de pierre. About de deux ans de passer dans cet endroit nauséabond, l'eau avait largement débordé, mais, coincé souvent dans cet appartement, tu avais perdu beaucoup de confiance en toi.
Au fond, tu penses que c'est à moitié à cause de cet Hybride que tu avais pris assez d'assurance pour détruire ces chaînes invisibles.
Cet Hybride, qui un soir où tu étais seul dans l'appartement, est rentré par effraction, en pensant qu'il n'y avait personne. Voler, juste dormir ? Tu n'as jamais su le but de sa visite. Mais ce soir-là, même en ne le voulant pas, vous vous êtes battu. Certainement parce qu'il avait eu peur de toi, et qu'il ne s'attendait pas à voir quelqu'un. Violent, tu t’en ai sorti avec des blessures profondes, entre griffures et morsures. Il est reparti sans rien avoir pris.
Tu n'as jamais parlé de ça à ce type, de toute façon, tu savais très bien qu'il revenait souvent dans un état pas possible. Et après une énième punition non méritée, tu avais eut cette sensation que si tu ne faisais pas quelque chose tout de suite, plus jamais tu ne reverras la lumière du jour.
Les sorties à l’extérieur étaient rares. Tellement rare que c'était comme une jouissance à chaque fois que tu pouvais sentir le soleil sur toi, ou simplement la brise te caresser. Tu ne te montrais jamais au grand jour, toujours avec un sac sur la tête. Honteux de ton apparence, mais pas autant que ce type qui ne voulait pas montrer ta laideur aux autres. Aussi un moyen de t'humilier devant tous ces gens. Mais tu ne disais jamais rien, uniquement parce que tu profitais à fond de ces sorties, qui étaient tellement rares que tu ne voulais rien faire pour ne pas y couper court.
Mais tu étais à bout. Tu n'arrivais plus à supporter sa présence, sa voix, ses coups, ses humiliations. Tu ne pouvais plus vivre avec cet énergumène et te faire détruire peu à peu. Lui-même était étrange depuis quelque temps, comme si quelque chose lui trottait aussi dans la tête. Mais tu allais couper court à toute idée encore malsaine qu'il aurait dans le crâne.
Tu avais osé prendre ce couteau avec toi sans même qu'il ne s’en rende compte, le cachant là où il ne pourrait pas être aperçu. Ton cœur avait battu très fort à ce moment-là. Ton estomac ne faisait que de se retourner, beaucoup de sentiments contradictoires s'étaient mélangés. Mais il était temps. Temps de se venger, et de s'offrir la liberté que tu avais perdue depuis si longtemps, bien que cette fichue puce allait forcément te gâcher encore la vie.
Tu remercieras jamais assez les Dieux pour avoir permis ce hasard. Ce hasard qui t'a permis de te libérer de tes chaînes. Tu n'as jamais su pourquoi cette fois-ci, ton « maître » a voulu prendre un autre chemin. Quitter ces rues bondées, pour se perdre et zigzaguer entre les divers bâtiments, les ruelles et quelques endroits de verdures coincés entre de grands bâtiments parfois inutilisés. Peut-être était-ce une énième folie de ta part.
Folie qui allait le mener à la mort.
2053 fut cette année fatidique, où cet Humain, pas du tout clair dans sa tête à ce moment-là -certainement parce qu'il s'était encore enfilé trop de bières ou fumer des chose spas claires- a voulu se jeter sur toi pour t'étrangler. Sans compter que tu avais attendu si longtemps pour qu'il fasse un geste de trop, et pense pouvoir encore te faire du mal sans y subir de conséquences. C'est vrai, tu as vraiment cru que t'allais y passer, sous ses grosses mains moites, qui avaient fait preuve de beaucoup de force malgré tout. Mais une soudaine adrénaline t'avais prit de court, t'aidant à trouver une force insoupçonnée malgré ton corps fatigué et maigre. Ce couteau, heureusement qu'il était encore là, se pressant contre ta peau, avant que tu ne le prennes en main pour le poignarder du mieux que tu le pouvais, vu ton manque d'oxygène qui commençait à être sérieusement critique.
Tu pus reprendre ton souffle, lorsqu'il s'écartait de toi, en poussant un gémissement de douleur, frôlant le cri de porc qui t’en fit frissonner, autant d'horreur que de plaisir. Cette flamme en toi, se ralluma en cette fraction de seconde, lorsque tu repris ce couteau tâché de sang, pour se jeter sur lui. Le poignardant à plusieurs reprises. Plus rien n'existait autour de toi à ce moment-là, tandis que tes mains serraient ce couteau qui s'enfonçait dans la chaire encore chaude de cet être immonde qui avait pourri ta vie pendant plus de deux ans.
Le contre coup fut violent. À voir ce corps sans vie, se dire que tu l'as fait. Tu l'as tué, mais tu es libre... Pour le moment. Et tu n'as pas su exprimer ta joie, envahit plutôt par de la peur et de l'incompréhension sur ce qu'il pourrait se passer par la suite. Ils allaient forcément t’abattre maintenant.
Alors, sans plus aucun sac sur la tête, désormais complètement déchiré, tu t'es enfui. Tu as tenté de t'enfouir dans les ruelles les plus sombres que tu puisses trouver. Trouver un endroit où te cacher, reprendre tes esprits, le corps tremblant, les vêtements imbibés de sangs. Tes pas étaient vifs, mais hésitants à la fois. Le souffle coupé, presque impossible d'en retrouver un normal. Tu t'es totalement effondré sur le sol, totalement perdu et fatigué de ces récents événements. Le corps tremblant, le cerveau au bord de l'explosion. Tu as vomi sous tout ce stress et cette peur qui déchiraient tes entrailles. Mais tu n'as pas pleuré. Tu n'as pas pleuré, parce que tu ne le regrettais pas. Il était mort, pas toi. Tu étais libre. Quelques minutes se sont écoulées, avant que ne ris enfin. Que tu ris depuis tant d'années. Soulagé.
Sur ce chemin nouveau et épineux, tu as fait la rencontre de Cassiel. Faible que tu étais. Il aurait très bien pu abréger tes souffrances, ou simplement te laisser là où tu étais. Être repoussé par le monstre que tu es.
Mais cette main tendue, a été une véritable délivrance, pour une personne aussi torturé que tu étais.
C'est comme si tu redécouvrais le monde. Sous un autre angle. Tu découvris les Déviants. Une organisation qui doucement commençait à s’agrandir, avec de nouveaux objectifs, un but précis. Au fur et à mesure des semaines, des mois, des années... Tu devenais un autre homme. Plus assuré, prêt à tout faire pour renverser la suprématie des Humains. Tu en vue des membres rejoindre et partir de l'organisation. Tu en as vu des choses horribles. Mais tout ce qui t’importais, était d'amener à bien tes missions et ne plus avoir de pitié pour les Humains à qui il faut supprimer la vie.
C'est grâce à eux, que tu as pu retirer cette fichue puce. Bien que ce moment avait été terriblement difficile pour toi de vivre... Tu t'étais senti totalement libre par la suite. Tu te rappel encore de ce moment difficile, tu as eu beaucoup de mal à t'en remettre, mais tu y as survécu, miraculeusement peut-être.
Depuis ce jour fatidique, tu as tout fait pour bien te faire voir. Autant par les membres que les créateurs et boss de ce groupe qui t'as tant donné. Ce désir de faire tes preuves, ne pas décevoir qui que ce soit. Montrer à quel point tu es utile, que tu n'es pas faible malgré ce besoin de continuer à cacher ton visage et ton corps aux yeux de tous.
Tu le sens pourtant, que ces derniers temps, quelque chose cloche. Tu ne peux pas faire comme si de rien n'était. Cette chose qui te retourne à nouveau l'estomac. Ces voix, cette impression d'être constamment suivi. Ces choses que tu vois, et qui sont certainement que le fruit de ton imagination. Tu te sens ailleurs. Tu as l'impression de vriller, que tu n'es plus toi-même. Mais tu veux mettre ça derrière toi, pour te concentrer sur les futurs événements. Ils comptent sur toi.
Grumpy Daddy
NOM DE L’AVATAR : Thomas the Whaler de Dishonored COMMENT TU NOUS AS TROUVÉ : Adminous hihi UN PETIT MOT : Alors. MDR, j'étais censé arrêter le rp, mais en réalité je pense qu'il me suffisait tout simplement de m'éloigner des réseaux sociaux et de la communauté RPG pour me sentir mieux, et aujourd'hui, effectivement y'a du mieux. Je reviens avec une idée qui a poppée dans ma tête et j'espère qu'elle vous plaira~
Zelda Wick
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Zelda Wick
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Sam 16 Jan - 20:19
Rebienvenue parmi nous
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Dim 17 Jan - 11:38
Mici hihi, j'écris l'histoire, normalement... soit aujourd'hui ou demain elle sera là
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Lun 18 Jan - 11:02
Jör est tout simplement génial, le pauvre Welcome back !
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Mer 20 Jan - 16:30
Merci Vic
J'AI FINIII enfin
Sun-Hi Moon Pak
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Lun 25 Jan - 14:02
J'adore et je veux un RP (dit la nana qui vient de poster une absence... NE ME JUGEZ PAS T.T).
Let me sing for ya ~ Sun-Hi chante en #996699.
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Dim 31 Jan - 22:18
HOUSTON ON A UN PROBLÈME
Rebienvenue avec ce nouveau perso du coup ! Je m’excuse pour le temps d’attente sur la correction, entre la maladie et des bails sombres j’ai un peu galéré ! Je n’ai clairement rien à dire sur le caractère, les infos et le physique c’est complet et on cerne très bien Jör dans sa vie de tous les jours. Par contre l’histoire a plusieurs incohérences vis-à-vis de la temporalité du forum.
Tu parles beaucoup de religion nordique, mais cette dernière s’achève très tôt dans notre histoire (vers l’an 1000 si j’ai bien compris), il me semble compliqué pour un petit village de pratiquer aussi assidument cette religion, d’autant plus en 2028 : le nom a évolué et quand bien même il existe des petits villages encore perdus au milieu de nulle part, ils sont tout de même développés.
Avec l’arrivée des nouvelles technologies, les petits villages se font souvent envahir : difficile donc pour eux d’entretenir une telle croyance. D’autant plus que d’un coup, son père est muté aux États-Unis : on manque d’éléments sur le pourquoi du comment. Pourquoi un forgeron serait muté aux États-Unis alors qu’ils sont clairement perdus au milieu du monde ? Comment a-t-il été trouvé ? Pourquoi lui ? Était-il connu en dehors de ce petit village ? Ce sont pleines de petites questions qui font qu’on se demande comment Jör a pu se retrouver à NY. Le New York de Chroma est d’ailleurs + proche de Night City dans Cyberpunk 2077 que notre NY, ce qui augmente encore plus le changement drastique.
Aussi j’aimerais bien une petite explication sur le surnom qu’il s’est donné, j’imagine que ce n’est pas le prénom qu’il a reçu à la naissance.
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Dim 31 Jan - 22:34
Hey ! Pas de soucis pour le temps d'attente
Pour ce qui est de la religion, c'est vrai que vu comme ça comment je l'ai écris ça fait vraiment secte... AH
Mais en gros oui, le village n'est pas un petit perdu non plus, y'a l'électricité, les voitures etc... C'est juste qu'ils laisse perdurer les traditions et sont très attachés à ces anciens dieux. La population est d'ailleurs assez vieillissante et c'est comme une très grande famille, qui partage et fait perdurer cette mythologie ! Après je pars du principe que si y'en a qui vénèrent Jesus et d'autres Dieux que l'ont connait aujourd'hui, les Dieux nordiques peuvent aussi avoir leur place tant que des personnes sont-là pour y croire
Donc en gros : oui le village reste assez développé, bien que moins qu'une ville, et c'est comme une grande famille qui laisse perdurer les traditions et qui restent attachée à ces Dieux assez oubliés du restant de la population, après Jor... C'est une autre histoire, il est réellement à fond dedans et c'est devenue carrément une obsession ( après je peux essayer de faire en sorte que ça fasse moins effet de secte et dise qu'ils sont juste attachés à cela, plus que d'autres villes/villages et que ça en fait la particularité !)
Pour ce qui est du père... Je me suis mal exprimé, mais il n'est pas forgeron mdrrr sorry il aime bien fabriquer quand il a le temps en fait, sinon il a un boulot dans la ville d'à côté et je n'ai pas précisé quoi parce que je n'ai pas spécialement d'idées mais en tout cas c'est un boulot qui a nécessité de déménager, et, est-ce que ça peut passer si je dis que les parents ont voulu aussi le faire changer d'atmosphère, le confronter je sais pas... à la vraie réalité ou quelque chose comme ça, en tout cas le "vrai monde" je sais pas trop comment l'expliquer XD mais en tout cas l'ouvrir d'avantage à ce qui l'entour et découvrir d'autres choses !
Pour le pseudo, effectivement c'est lui-même qui se l'est donné, j'ai COMPLEMENT oublié de le noter haaaaa je pensais à "Soren Sveinsson" et il se serait donc renommé ainsi ?
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Jeu 4 Fév - 17:29
Désolé pour le up, comme je suis sous Jor, flemme de changer de compte pour éditer /pan
J'ai mis ça du coup dans les signes distinctifs :
Citation :
Avant, tu t'appelais "Soren Sveinsson" avant que tu ne te donnes un surnom.
Comme ça, c'est fait ! Plus qu'à attendre le feu vert si y'a d'autres choses à corriger ou non
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Dim 7 Fév - 13:46
FÉLICITATIONS
On a vu ensemble en PV pour les changements du coup c'est tout bon pour moi, rebienvenue avec Jor
Maintenant que tu es validé(e) tu as accès à l'entièreté du forum, les listings seront remplis automatiquement par l’équipe administrative donc tu n’as pas besoin de t’en occuper, cependant :
www. Tu peux maintenant créer ton journal et ton compte lifetime. www. Les recherches attendent ton arrivée en modérations et recherches. www. Si ce n’est pas déjà fait tu peux nous rejoindre sur le discord du forum pour discuter et échanger avec les membres.
Nous te souhaitons un agréable moment en notre compagnie !