Walton ?
Non, cela ne te dit rien ?
Cela ne m’étonne pas en dehors de certaines gazettes, nous ne faisons pas trop de publicité.
Bon,
Wallmart ?
Voilà bon maintenant tu sais que c’est la même chose. Alors je ne vais pas essayer de t’embêter avec mon enfance compliquée car franchement ce n’était pas le cas. J’ai été élevée comme une petite princesse, choyée par tout le monde. Tels les oiseaux migrateurs mes parents tournaient un peu entre nos maisons au gré des saisons, et dès mon lycée j’ai ainsi connu les écoles privées.
C’est là que j’ai commencée à parfois... “jouer” un peu : oublier un l où un t sur mes inscriptions en s’arrangeant avec papa. Ainsi je passais tranquillement sous les radars en mode furtive. Solution idéale pour se débarrasser des chasseurs de dots en culotte courtes. En plus, comme j’étais plutôt dans le style geek/J-pop/informatique, j’étais membre des clubs tranquilles. Pas de pression sociale..
Sauf qu’à l’université, évidemment, cela a été le grand bain.
Pas franchement niveau connaissance, je suis une acharnée adorant me gaver de connaissances, une frénétique qui retient tout si elle dispose d’assez de sucre (de préférence en pots de glaces vanille-pécan) et à prendre un peu d’avance pour ne pas trop s’ennuyer. . Non redevoir porter mon nom avec les autres étudiants
« Tu es une Walton, tu iras comme moi à Alpha-Delta-Phi….blabla bla…dans les pas de Roosevelt….blablabla ….depuis 1832…..blablabla …se faire un carnet d’adresse. »
La seule chose qui s’allégeait au-dessus de mes épaules c’était la succession. Avec mes deux frères aînés pour reprendre l’entreprise, j’étais tranquille dans mes études scientifiques. Et avec suffisamment d’actions en prime pour une vie plus que tranquille. Mais je n’ai jamais été ...
Où j’en étais ?
Oui, l’université, c’est là que je me suis vraiment rendue compte de mon décalage par rapport aux autres. Elles avaient toutes des hybrides et beaucoups étaient assez … agressives.
“Tu te rend bien compte qu’un vrai chat t’aurais déjà défiguré, tu ne pourrais pas le laisser tranquille, j’essaye de réviser là ?”
Avoir un serviteur, oui, enfin comme tout le monde, cela fait partie des petites mains qui ont toujours été là, à la maison. A l’école je faisais sans et c’est vrai que j’avais pris le plit en m’en passant assez souvent. Mais ce n'était qu’un détail insignifiant. L’eau chaude sort du robinet, et quand il ne marche plus tu appelle le plombier, inutile d’apprendre à souder. Aussi je ne comprenais pas vraiment cette manie de marquer le territoire ...à se poser la question du plus animal des deux.
Enfin malgrés ces détails insignifiants, j’ai continué mes études, assez rapidement j’ai continué à Oxford et après la médecine j’ai continué avec la génétique, le sujet est passionnant. Que cela soit les étranges ARN de ces nouveaux virus où même les anciennes lignés génétiques.
Des créatures impossibles à reproduire ? Avec suffisamment de puissance de calcul et suffisamment de fragments ...
Mes études terminées, je suis revenue aux Etats-Unis, et j’ai décidé de m'arrêter sur New-York?
Pourquoi, ? Car la ville bouge beaucoup qu’il y a les plus grandes fêtes et que j’ai facilement trouvé un post de maître de conférence à l’université de la ville. Bon, j’ai du acheter une où deux machines pour compléter mon laboratoire un peu maigre, mais de toute façon c’est déductible des impôts. Grâce à ma petite réputation dans mon domaine j'ai aussi un contrat avec une petite société indépendante. Un contrat assez classique en recherche brute. Ils financent une partie de mes recherches, et ils ont la priorité sur l'exploitation commerciale de certaines découvertes.
Par contre .j’ai été un peu surprise de l’évolution du monde…
Y faire attention ? Non, j’étudiais, je ne suis pas du genre à m'encombrer la tête de fariboles quand je suis lancée sur quelque chose. La ville avait changée avec la montée en puissance des troubles liés aux hybrides, sans compter ce virus qui interroge de plus en plus. Mes collègues de chez Humanis aurait-il un défaut dans leur propre système d’encodage génétique?
Ce serait étonnant, mais dans la science, rien n’est jamais impossible.
Ces derniers temps j’ai recommencé mes fourberies d’adolescente,
Un, car celà me donne 20 ans de moins,
Deux, celà me permet de devenir totalement invisible, pouf, je ne suis plus là. Regardez, vous voyez ces fausses oreilles de chat électroniques, c’est génial, elles bougent en fonction de vos ondes cérébrales. Vous les mettez, et plus personnes ne vous voient. Le seul défaut, c’est de les enlever pour prendre un taxi, sinon eux non plus de vous voient pas. Cela marche assez bien pour être tranquille ou parler à des hybrides.
Parler avec eux, ben oui ils ne sont pas plus bête que la plupart des humains !
En plus, le bénévolat chez Unity me permet d’avoir des exemplaires génétiques idéaux pour mes recherches. Un travail d’intérêt commun en somme.
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PSEUDO : PSEUDO COMMENT AS-TU CONNU CHROMA : TEXTE UN PETIT TRUC A DIRE ? : TEXTE